Il a été annoncé le 29 juillet dernier que des clauses ayant été précipitamment rajoutées au plan d’infrastructure cherchaient à lever 28 milliards USD grâce à une taxation élargie et à l’imposition de strictes exigences en matière de rapports à des parties tierces à toute entité réputée être considérée comme étant un « courtier » en devises.
Le libellé général de cette clause a créé une véritable onde au sein de notre communauté, car les concepteurs de logiciels, fabricants de wallets matériels, ainsi que les mineurs et d’autres agents de validité des systèmes seraient sans doute considérés en tant que brokers et tenus de fournir des renseignements sur les parties du réseau des contreparties qu’ils ne peuvent pas rassembler.
Hier, sur Twitter, le ministre Richard Shelby a déclaré qu’il appuyait la proposition d’amendement des sénateurs Pat Toomey et Cynthia Lummis, Rob Portman et Mark Warner ainsi que Ron Wyden et Kyrsten Sinema, laquelle aurait dispensé les concepteurs de logiciels, validateurs et gestionnaires de réseaux des exigences de communication avec les tiers.
En dépit de son adhésion déclarée, M. Shelby a indiqué qu’il s’était prononcé contre l’amendement parce qu’il jugeait insatisfaisantes les dotations en crédits budgétaires pour la sécurité prévues par la législation.
- Richard Shelby, ce sénateur américain de 87 ans qui, par sa simple intervention, a fait passer le texte de loi bipartisan concernant les investissements en équipements sans aucun
amendement le 10 août dernier, vient de révéler son soutien aux changements apportés au texte de loi concernant les crypto-monnaies, modifications que son vote avait finalement bloquées. - Shelby a été vivement critiqué pour ses actions par la collectivité des crypto-actifs, les observations relatives à ce message ayant été constituées presque uniquement de commentaires de mécontentement de la population des crypto-actifs.